dimitry shulha coach tdah
TDAH Comment soigner le trouble du déficit de l’attention ?
TDAH Comment soigner?… En tant que coach TDAH, la question la plus fréquente que les gens me posent, c’est – » est-ce qu’on peut guérir du TDAH? » ou encore « Comment le soigner sans les médicaments? «
D’abord, qu’est-ce que vraiment le TDAH? Le trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) est un trouble neuro-développemental caractérisé principalement par de l’inattention, une impulsivité, et/ou de l’hyperactivité.
Lorsqu’on se demande « TDAH comment soigner ? », il faut clarifier deux choses :
il n’existe pas de “guérison” au sens classique du terme pour tous les cas ;
cependant, il existe des prises en charge efficaces pour réduire les symptômes, améliorer le fonctionnement, optimiser la qualité de vie et limiter les conséquences négatives.
Cet article va passer en revue les grandes lignes de la prise en charge du TDAH — éducation, thérapies, médicaments, lifestyle — en montrant comment les combiner de façon cohérente.
TDAH Comment soigner le trouble d'attention et de l'impulsivité de façon efficace
dimitry shulha coach tdah
Vous ou votre enfant êtes / est diagnostiqué TDAH? Vous soupçonnez l’avoir mais vous avez pas encore le diagnostic officiel?
Réservez un appel gratuit avec moi afin que je puisse vous aider et vous donner des pistes par rapport à votre problématique du TDAH.
Poser le diagnostic et comprendre le cadre
Avant tout, « soigner » un TDAH commence par un diagnostic fiable. Il s’agit généralement d’un bilan réalisé par un spécialiste (pédiatre, psychiatre, neurologue ou neuropsychologue) qui s’appuie sur les critères internationaux (durée des symptômes, impact, exclusion d’autres causes).
Une fois le diagnostic posé, il faut informer la personne concernée (et les parents, si c’est un enfant) sur le trouble : ce qu’il est, comment il fonctionne, et surtout ce qu’il n’est pas (pas une fainéantise, pas un simple problème de motivation).
Pourquoi c’est important : parce que l’insight (la connaissance de son fonctionnement) permet une meilleure adhésion aux stratégies, une réduction de la culpabilité, et une meilleure coopération avec l’entourage.
Les traitements non médicamenteux : la base de l’accompagnement
Tout d’abord, il faut en finir avec l’idée qu’une fois vous ou votre enfant est diagnostiqué TDAH, on va tout de suite vous bourrer de médicaments.
Dans le cadre du TDAH, les mesures non-médicamenteuses constituent souvent le premier volet de la prise en charge — particulièrement chez l’enfant. Par exemple, en France, les recommandations suggèrent de privilégier les interventions éducatives, psycho-éducatives et de soutien avant ou parallèlement aux médicaments.
Voici quelques stratégies importantes :
Psycho-éducation : cela signifie informer la personne avec TDAH et son entourage sur le trouble, ses effets, ses mécanismes, ses forces et faiblesses. Cela permet de créer une alliance thérapeutique. Ameli
Aide à l’organisation et aux routines : mettre en place des repères temporels, routines journalières, environnement de travail adapté (bureau rangé, peu de distractions).
Thérapies comportementales et cognitives (TCC) : travailler l’impulsivité, la gestion des émotions, l’organisation, la procrastination. Même s’il faut nuancer les résultats, ces approches sont utiles.
Soutien scolaire / aménagements pédagogiques : pour les enfants et adolescents, adapter les consignes (une à la fois), découper les tâches, valoriser les efforts. (Selon Haute Autorité de Santé )
Mode de vie sain : activité physique régulière, bon sommeil, alimentation équilibrée. Ces facteurs ne “soignent” pas le TDAH, mais améliorent l’adhésion aux autres traitements et modèrent les symptômes.
Conseil pratique : commencez par 1 ou 2 ajustements non-médicamenteux qui vous semblent faisables (ex : fixer une heure de coucher régulière + un mini planning visuel pour la journée).
dimitry shulha coach tdah
Soigner le TDAH :
Le rôle des médicaments
Lorsqu’il y a impact significatif du TDAH sur le fonctionnement (école, travail, vie familiale) et que les interventions non-médicamenteuses ne suffisent pas, l’ajout d’un traitement pharmacologique peut être envisagé.
Ce qu’il faut savoir :
-
Les psychostimulants (méthylphénidate, amphétamines) sont les traitements de première ligne dans de nombreux pays. Ils agissent sur la dopamine, ce qui améliore l’attention, diminue l’impulsivité et l’hyperactivité.
-
Les non-stimulants (atomoxétine, guanfacine, etc.) peuvent être une alternative ou un complément selon les profils. cda-amc.ca
-
Il n’y a pas de traitement “guérisseur” : les médicaments réduisent souvent les symptômes lorsqu’ils sont pris, mais ne “réparent” pas le trouble à eux seuls. PMC+1
-
Le choix du médicament, la dose et la durée sont à adapter individuellement, sous suivi médical régulier.
À retenir : un traitement médicamenteux pourra être très utile, mais il fonctionne bien en combinaison avec les stratégies éducatives et psychosociales.
dimitry shulha coach tdah
Combiner les approches et adapter dans la durée
Le vrai « soin » du TDAH ne se fait pas avec un seul “outil”, mais par une approche globale et personnalisée. Voici quelques points clés :
-
Évaluation régulière de l’efficacité du plan de prise en charge : ce qui fonctionne à un âge donné ou dans une période peut changer.
-
Ajuster l’accompagnement selon les transitions de vie (entrée au collège, lycée, travail, vie adulte).
-
Mettre l’accent sur les forces et ressources de la personne avec TDAH : créativité, capacité à hyper-focaliser, énergie. Ces aspects peuvent devenir des atouts s’ils sont bien canalisés.
-
Encourager l’autonomie progressive : apprendre à se connaître, repérer ses déclencheurs, développer des stratégies personnelles.
-
Travailler l’environnement (famille, école, travail) pour qu’il soit bienveillant, structurant et compréhensif.
Un plan type pourrait ressembler à :
Diagnostic + psycho-éducation
Mise en place de routines + soutien organisationnel
Ajout thérapie (TCC, coaching)
Évaluation de l’impact et décision sur médicament
Suivi long terme + ajustements
TDAH Comment soigner : Conclusion
Vous l’aurez compris – il n’y a pas de GUERISON de TDAH, mais une amélioration progressive de votre état, ou celui de votre enfant. Avec une prise en charge pluridisciplinaire – une hygiène de vie, un accompagnement thérapeutique, du coaching TDAH et peut être un traitement médicamenteux – il est tout à fait possible d’atteindre un bien être et un équilibre stable !
Personnellement, j’accompagne des adultes et enfants TDAH depuis 6 ans, et je sais qu’avec un coaching bien structuré et adapté, il est vraiment possible d’améliorer son quotidien. Si vous souhaitez un petit coup de pouce avec votre TDAH, un conseil, un renseignement… je vous propose de me contacter GRATUITEMENT afin que je puisse vous renseigner !
